Ce deuxième article concernant les vêtements traditionnels japonais concerne les différents types de chaussures traditionnelles.
Les zori sont des sandales japonaises, elles s'apparentent aux tongs. Elles sont constituées d'une semelle plate et de deux lanières rondes qui sépare le gros orteil des autres.
Traditionnellement, la semelle supérieure des zori était constituée de paille de riz et les lanières sont le plus souvent en velours
Aujourd'hui, les semelles sont souvent faite de plastique avec des hauteurs de semelles qui varient.
Les geta sont des chaussures apparentées aux sabots, elles sont composées d'une planche de bois sur laquelle on pose le pied et de deux lames verticales de bois fixés sur la semelle extérieure de la chaussure. Le pied est maintenu par deux lanières passant entre le gros orteil et le second.
Les okobo sont caractérisées par leur hauteur importante, ces chaussures sont portées de nos jours par les fillettes lors des festivités du Shichi-go-san (fête célébrant les enfants), par les mariées en tenues traditionnelles et par les maikos (apprentie geisha).
La chaussure est souvent fabriquée dans une seule pièce de bois évidée. Deux lanières séparant le gros orteil des autres servent à maitenir le pied.
Ces trois types de chaussures sont souvent portées avec des chaussettes séparant également le gros orteil des autres orteils. Ces chaussettes sont appelées tabi. Elles peuvent monter jusqu'à la cheville ou à mi-mollet, elles sont la plupart du temps blanches surtout lors des occasions formelles. Il arrive cependant que les hommes en portent de couleur noire et les femmes en portent d'autres couleurs ou bien avec des motifs.
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